Il entre à l’AFP où il apprend le métier d’“agencier” au service étranger. Il y couvre la fin de la Guerre d’Algérie, le conflit katangais et la mort de Dag Hammarskjöld avant de prendre, en 1955, la direction intérimaire du bureau de Tunis.
Il y reste jusqu’en 1963, année où il est nommé directeur du bureau de l’Agence en Égypte. C’est là, qu’en 1970, il fait la connaissance du directeur de la rédaction du Nouvel Observateur. Il s’établit alors un très bon contact au point que ce dernier l’invite à venir à son journal prendre en main le service étranger. Ensuite, il rejoint Europe 1 pour occuper le poste de rédacteur en chef-adjoint puis de chef du service étranger (1977-1981) et enfin de rédacteur en chef et de correspondant aux États-Unis (1981-1988).
En 2001 Jean-Luc Lagardère le rappelle pour le charger de s’occuper de négocier avec les Allemands de DaimlerChrysler le dossier de la communication industrielle et commerciale du futur ensemble EADS fusionnant Aerospatiale-Matra et DASA.